Bella Van Tassel is in the place.

Le grand jour est là ? Mon animal bientôt.

Demain est un grand jour pour la famille Van Tassel, oui enfin ils vont pouvoir subir l’opération tant demandé par tout les habitants. Tout le monde est en effervescence dans le sous sol qui nous a toujours servis de maison à cause de la guerre. Je regarde tout le monde parler à en manquer d’air, mes parents les premiers. Ils ont l’air de se préparé pour une grande excursion d’une semaine à stresser pour rien. Mes frères sautent partout car ils vont voir enfin le monde extérieur. Ce n’est pas tout les jours qu’on puisse sortir de notre sous-sol, enfin a ce que je m’en souvienne nous ne sommes jamais sortit de ce sous-sol. Peu être à notre naissance car il faut bien qu’on naisse quelque part non ? Je suis assise sur ma chaise, très calme, peu être un peu trop mais je ne vois pas en quoi une stupide opération puisse tous nous sauvé. La guerre est là non et je ne vois pas en quoi une ouverture dans notre cou pourrait changer l’esprit de nos soldats ou même notre esprit. En faite je crois que je redoute cette opération. Je ne me sens pas mauvaise en moi et je pense que si quelques chose de mauvais est en nous il le restera tout au long de notre vie.

- Au lit les enfants demain une longue journée vous attend, lança ma mère avec un mélange à la fois d’excitation et de doute dans la voix.

Je suis la première à courir me coucher pour pouvoir avoir de la place. Mes frères peuvent être bien gentils depuis qu’ils sont là je n’ai plus jamais de place nulle part. La maison au dessus est immense, je le sais car je l’ai moi-même visitée même avec l’interdiction de mon cher père, les rideaux étaient fermé sur des fenêtres barricadées avec de vieille planches, la maison était superbe avec plein de chambres pour tout le monde, une grande salle de séjour était décorée de rouge et noir. La cuisine servait souvent aux parents pour nous préparé de quoi nous nourrir. Quand ils revenaient exténué d’avoir fait les courses, ils y restaient parfois plusieurs heures et en revenait avec nos assiettes dans une routine qui commençait à m’énervée légèrement avec le temps. Mes frères viennent de me rejoindre dans l’immense lit blanc pour dormir. Je ne me fis pas prier deux fois pour fermé les yeux et sombré dans les bras de Morphée.

Le grand jour est arrivé, tout le monde est encore plus excité que la veille. Mes frères sont de plus en plus bavards à se demander qu’elle pourrait bien être leur nouvel animal. Celui qui passerait toute sa vie aux côtés de ces morveux. Je les plaints déjà. Je suis la petite famille dans les rues, sous le ciel bleu sans nuage et un soleil de plomb.

- Papa j’ai mal aux pieds, dis-je exténué d’avoir trop marché.

Mon père me prit alors sur ses épaules et je terminai le trajet ainsi sous l’œil jaloux de mes frères. Je fus très vite séparé de mes parents et emmenée dans une salle blanche où l’on me demanda de me changer m’offrant une robe blanche assez moche je dois dire. Puis on m’emmena dans une salle aussi blanche que ma robe, si mes cheveux n’étaient pas ébènes on aurait pu me perdre là dedans. Je m’installai sur une petite croix dessiné sur le sol et me laissa faire dans le plus grand calme. Ce silence devint pesant lorsque le médecin commença à m’entaillé le cou où bizarrement je ne sentais rien. Ni la douleur de la coupure, ni la froideur de la lame dans ma chaire. Je ne pouvais plus bouger, plus parler sans doute à cause de ses pilules. La bleue et la rouge qu’ils m’avaient fait avaler en me séparant de ma famille. Je ressentais alors quelque chose passé dans ma nuque voulant à tout prix sortir de moi. Une étoile rose apparut alors dans un sifflement strident. A ce moment là je me suis endormie d’un seul coup pour ne me réveillé que le lendemain matin dans une chambre en compagnie de mes frères occupés de jouer avec ce qui ressemblait à un chien, un louveteau, un mouton et une souris. Quoi qu’il en est je regardais à mes pieds pour apercevoir une jeune lionne couleur sable se lécher la pate avec dédain. J’approchai ma main pour lui caressé la tête, qu’elle accepta directement.

- Et regarder Bella s’est réveillé. Et son animal à l’air gentil on va jouer avec, demanda le plus petit de mes frères

A peine eut-il eu le temps d’approcher sa main que la lionne sortis ses crocs prête à bondir sur lui avec une férocité que je ne connaissais pas encore.

- Je sens qu’on va bien s’entendre toi et moi, murmurais-je à l’animal tendrement.

L’université … Me voilà

L’université. Le rêve de chacun ici. J’étais assise sur mes valises essayant en vain d’allumer cette foutue cigarette. Sushi, mon animal était assise à côté de moi, riant sans doute contre moi et mon incapacité à appuyer sur la gâchette de mon briquet.
- Fait le toi si tu te crois plus maligne.
- Le fait est que j’ai des pattes et non de mains comme toi.

Très calme habituellement, je pestais contre mon briquet que je claquai bien vite au sol le laissant éclaté sur le gravier. Deux pieds se postèrent devant moi et alluma ma cigarette avec un briquet rouge tenu par des mains manucurée.
- Merci, soufflais-je en même temps que la fumée que je venais d’avaler.
- De rien, me répondit-elle sourire aux lèvres.
Je me levai en un bon de ma valise pour rencontrer cette sauveuse. Du haut de mon mètre septante-cinq, mes cheveux auburn voletant au vent, je souris à la demoiselle avant de me présenté.
- Je suis Bella Van Tassel et elle c’est Sushi, dis-je en tendant ma main.
- Mégara Epson Connor et lui c’est Ko’
Mon humeur était enfin au rendez-vous quand nos mains se serrèrent. Une sonnerie retentit pour avertir tous les nouveaux qu’il était le temps de découvrir le campus. Je quittai Meg avec mes valises mais la retrouva bien vite dans le rang des nouveaux. Nous suivons la troupe d’élèves pour écouter le discours toujours aussi barbant au fils des années, d’après les quelques anciens que j’ai pu rencontrés bien sure.

C’est à se moment là que je me fis réveillé par le grognement de sushi couchée à mes pieds, me réveillant pour aller en cours. Pourquoi avais-je rêvé de mon entrée à l’université. Tout cela ne tournait pas rond. Je me levais difficilement titubant vers la salle de bain en retirant mes vêtements un à un et entrant dans la douche. Le jet d’eau glacé tomba sur mon visage puis dégoulina le long de mon corps blanc et frêle. Sushi étaient postée devant la porte de la douche et surveillait tout en se lavant elle-même avec sa langue rose et rugueuse. Après une bonne douche bien froide pour me réveillé, je m’attaquais à mes cheveux et à mon maquillage. Après plus d’une heure de travail j’était coiffée de belle boucles soyeuses m’arrivant en dessous des épaules ,maquillé de noir autour de mes yeux ainsi que du rouge à lèvre rouge surmonté de gloss sur mes fines lèvres assez pulpeuses et habillée d’un slim noir et d’un top blanc surmonté d’une jaquette noire et de colliers noir et argent. Mes talons claquaient contre le sol quand je me dirigeai vers la cafétéria. Fessant la file je ne pris qu’un bol de Kellogg et un café au lait avant de rejoindre ma table où se trouvaient déjà Meg et Balthazar.
- Tu as l’air suspicieuse Bella, qu’est ce qui se passe ? , me demanda ce dernier avant d’enfourné un croissant dans sa bouche.
- J’ai rêvé de mon premier jour ici. Je me demande juste pourquoi.
- C’est peu être la mort d’Eavy qui te tourmente avec la reprise des cours ce n’est pas étonnant.
- -En plus le tueur rode toujours, compléta Meg.
- Vous avez sans doute raison.
J’attrapai ma tasse de café et en bu une longue gorgée repensant à la peur panique qu’y avait pris l’ensemble des élèves de l’école en retrouvant tour à tour les corps d’Eavy et de sa meilleur amie. Je trouve ça horrible que quelqu’un s’amuse avec nos vies. En plus à croire que celui-ci est misogyne car pour l’instant seulement deux filles sont morte et non une fille un mec ou même deux mecs. Cela m’inquiète étant moi-même une fille. Je ne veux tout de même pas mourir au début de ma vie non mais.
- Mange Bella, tu vas devenir anorexique, me lâcha Balthazar
- Je ne suis ni trop mince, ni trop grosse alors fout moi la paix. Si je veux ne rien manger de la journée je ne mange pas, répondis-je enfournant une cuillère de Kellogg dans ma bouche.

Une soirée hors du commun.

Je n’y crois pas. La directrice a accepté de nous laisser organiser une soirée. Bon bien sure elle nous a rajouté « Vous avez tellement besoin de vous changer les idées avec ce qui c’est passé » Et blablabla comme ci cette histoire ne nous avait pas assez atteinte. Après avoir été voir la directrice je fis du porte à porte avec mes amis les cœurs car oui c’est les cœurs qui on eut la merveilleuse idée d’organisé cette petite fêtes dans la forêt. Sushi me suivait essayant d’avoir des caresses en avançant sa tête dans ma main. Quelque chose la tracassait depuis quelques minutes, comme un pressentiment que quelque chose allait mal tourné.

- Ne t’inquiète pas Sushi, si les cœurs organisent la fête sera une réussite.

Sushi semblait s’être calmé quand nous arrivions aux coins trouvés pour la fête. Certains fessait déjà un feu, d’autre apportait de l’alcool et la musique alors que d’autre C’était une grande plaine d’herbe verte avec un grand feu de joie allumé en plein centre. Peu à peu l’heure avançait et les premiers fêtards arrivaient pour s’amuser. Tout le monde semblait s’amusez quand je montais sur le toit de la voiture fournissant la musique pour prendre parole. Tout le monde se tut un instant pour regarder dans ma direction car Sushi venait de rugir bruyamment pour avoir toute l’attention.

- Chères élèves bienvenus à cette soirée organisée par la camaraderie des cœurs. Des boissons vous sont fournie un peu partout par des bars temporaires et il vous en sera demandé 2 dollars pour une. La musique nous est fournie par plusieurs âmes charitables pour ne pas vidé les batteries de vos chers bolides. Pour ceux qui ne serait pas partir seuls en fin de soirée, il y aura des tentes mise à disposition ainsi que des raccompagnements organisés. Sur ce bonne soirée amusez vous bien.

Tout semblait être parfaits et bien gérer il faut dire que les cœurs savent organiser des soirées digne de ce nom. Le plus dure est de garder les autres aux pas. Enfin quand je dis aux pas c’est correct. Je suis sure que dans cinq minutes à peines les tentes seront bondée de couple pour coucher dans tous les sens et que nos non-buveurs seront déjà saoul avant de raccompagner qui que se soit aux quartiers des étudiants. Tout le monde semblait prendre pars à la partie bien que ce ne fut pas évident à mettre en place mais bon on est ici pour s’amuser non ? Sur ce moi je vais danser.

[le derniers est un peu court mais je n'avais pas vraiment d'idées pour le continué. En tout il y a 1939 mots pour les trois rp.]

ok pas de problème

Merci beaucoup

Yeah Bella >_<
Bienvenue!

Oui je compte faire le troisième mais dés que je suis de retour chez ma mère vu qu'il est déjà commencé sur Word . J'espère que le reste est bon s'il y a le moindre problèmes dis le moi et je changerais.
Merci pour l'acceuil à tous.

Je crois avoir finis.