L'arroseur arrosé |
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| Tu me touches, je te bouffe... [PV] | |
| | Auteur | Message |
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Adrian W. Parstone ADMIN complètement dingue !
Crédits : PixXou Messages : 83 Date d'inscription : 19/09/2009 Animal : Cochon D'inde Carreau, Coeur, Pique ou Trèfle ? : Camaraderie des Coeurs
| Sujet: Tu me touches, je te bouffe... [PV] Mar 13 Oct - 9:20 | |
| Tu me touches, je te bouffe... Louis Wales « Wouhou ! Adichou ! » Arg, encore une fervante admiratrice. Courons, courons, autant que l'on peut. Idiot, tu n'as aucune endurance. Certes, Adrian est rapide... Mais il n'est pas sportif et il n'est pas le moins du monde endurant. Bon dieu, elle va se jeter sur lui pour lui piquer son beignet, à tout les coups, c'est ça ! (Ça ne lui effleurerait même pas l'esprit que c'est pour lui qu'elle court et non pas son beignet...) JAMAIS on ne lui piquera sa bouffe, jamais ! « Jamais, tu m'entends la grosse ?! Jamais, celui qui me piquera ma bouffe n'est pas encore né !! ». Alors là, c'était méchant, et Adrian se stoppa net dans sa course, et il fit demi tour. La pauvre, c'est vrai qu'elle était un peu enrobée, mais de là à la traiter de grosse. Adrian afficha un visage triste, un visage enfantin mais triste et il s'approcha de la demoiselle qui s'était elle aussi arrêté en plein milieu du couloir. MAIS à peine était-il à un mettre d'elle qu'elle se jeta sur lui, l'écrasant littéralement, l'étouffant par la même occasion. Et Adrian avait beau se débattre comme un , c'est pas avec sa force de moucheron qu'il allait pousser ses 100 Kg. « J'étouffe... ». Elle se leva précipitamment et commença à sautiller dans le couloirs en criant qu'elle avait le beignet d'Adrian Woody Parstone entre ses gros doigts. Et hop, ni une ni deux, elle l'avale tout crut. Adrian, qui était toujours allongé sur le sol, tendant une main vers elle, il en avait les larmes aux yeux le pauvre. « Mon... Mon... Beignet... ». Mais elle était déjà partie, sûrement pour raconter à tout le monde qu'elle avait bouffé son beignet.
Ça, c'était la petite histoire du matin, c'est à dire qui c'est passé il y a 10 minutes. Tôt, trop tôt, Adrian était cherché une petite gâterie aux cuisines, lui et la bouffe. Bref, tout ça, c'était avant le petit déjeuner. C'est pour vous dire comment il est matinal le petit... A peine était-il sortit de la cuisine qu'elle commençait déjà à le pourchasser. Comment pouvait-il envisager cette journée joyeuse alors qu'elle lui avait déjà gâcher en bouffant son encas. Adrian s'était relevé, non, il ne trainait plus sur le sol tel l'âme en peine pênante. Il marchait les mains dans les poches de son jean, une chemise blanche sur le dos avec un pull gris par dessus. C'est un beau goss. A cette heure là, il n'y avait personne dans les couloirs, et pour une fois, le jeune homme s'en réjouissait. Si il y a bien une chose qui le met de mauvaise humeur, c'est qu'on lui pique sa bouffe. Tiens... Il y a un problème là... « Clappy ?! T'es où ? Ne me dis pas que je vais sortir de ma poche une boule de poils complètement écrasée et pleine de sang ?! ». Ladite boule de poils sortit son museau de son col de chemise. « Comment tu fais pour te faufiler par tout comme ça ? ». Adrian la prit dans sa main et la posa par terre, et alors, elle, boule de poils insignifiante lui mordit le doigt. Pourquoi ne pas communiquer par pensés comme toutes les autres âmes ? Parce qu'il est pas bien dans sa tête, le cochon d'inde, voilà pourquoi.
Adrian leva les yeux au ciel et inspecta son doigt. « Si tu étais comme les autres âmes, tu n'aurais pas le droit de faire ça... ». Il recommença à marcher, l'animal marchant derrière comme si de rien n'était. Il est où ton beignet ? « Dans ton... Séant... ». Non, il était fâché, il ne fallait pas aborder ce sujet là ! L'es vraiment bête, Clappy... Le pauvre animal suivait tant bien que mal le rythme assez rapide de son maître, rythme rapide dû à l'énervement, rythme que Wood' ne tiendrait pas longtemps soit disant. En plus, il n'avait pas bien dormit, la chambre d'à côté ayant fait une sorte de petite soirée en petit comité. Bref, il a tout entendue, et franchement, le sujet n'était pas des plus intéressants. Fille, fille et fille. A tout les coups, son frère était de la partie... Adrian tourna à l'angle droit du prochain tournant, et... BOUM. En plein dans quelqu'un. Quel hasard... Adrian leva les yeux et reconnue... Louis. Louis, Louis, Louis, son poteau de toujours n'est-ce pas ? Peut-être pas dans les deux sens... « Yo, Louis, t'aurais pu faire attention ! Moi aussi, si l'on part dans ce sens là, mais bon... ». Hé hé hé, c'est mal partit, à tout les coups, il va se faire incendier de l'avoier bousculé.
Je ne pense pas pouvoir dire que Louis et Woody sont en bons termes... Qui ose dire ça de toute façon ? Adrian est un idiot, intelligent, mais qui comprend très bien qu'il n'est pas spécialement aimé du jeune homme, mais bon, tout le monde le connait pour savoir que ce n'est pas ça qui va faire qu'il ne va pas lui taper la discute... Adrian leva quelque peu les yeux pour pouvoir le regarder dans le blanc de l'oeil et lui dire tout ce que tu la hais et essayer de deviner si il est d'humeur à le frapper ou non, ou alors pour l'envoyer paitre ou non, ou alors... Bref, si il était de bonne humeur ou non. D'un autre côté, Adrian n'est pas sûr de savoir faire la différence... | |
| | | Louis Wales Admin
Crédits : Kewilano Messages : 30 Date d'inscription : 09/10/2009 Animal : Une souris brune. Carreau, Coeur, Pique ou Trèfle ? : Pique.
| Sujet: Re: Tu me touches, je te bouffe... [PV] Mer 14 Oct - 9:05 | |
| C'est fou l'importance que va avoir mon début de message. J'ai envie de faire durer le suspens, Louis sera-t-il de bonne ou de mauvaise humeur ? De toute manière son humeur a le temps de changer, ne soit pas inquiet mon petit Adrian. Il est donc tôt, très tôt. Les lumières des couloirs sont encore allumées alors que les rayons du soleil chassent peu à peu le bleu sombre du ciel. Il ne fait pas bien chaud, les bâtiments sont encore frais, et tout le monde n'est pas tellement en action. Cela fait exactemet 43minutes que Louis a quitté son lit, il avait fait son petit rituel matinal, douche froide, débarbouillage, et quelques abdos pour bien commencer la journée. Vous devinez qu'il avait une envie folle d'aller aux toilettes malheureusement, les dortoirs n'en étaient pas équipés, il devait donc descendre d'un étage pour subvenir à ses besoins. D'ailleurs les toilettes étaient très mal placées, d'abord pourquoi est ce qu'un gus devrait monter un étage supllémentaire pour accéder à ses toilettes? D'accord la gente féminine était dépourvue de muscle, mais certains gars l'étaient aussi. Non c'est pas encore là que tu intervient Adrian. 120 marches vous vous rendez compte ? Les hommes ont deux fois plus de chances que les filles de tomber sur une personne qui trébucherait et dévalerait toutes les marches sur les fesses, ce qui entrainerait immédiatement un fou rire, et à ce moment là on ne se retient plus de rien, je vous laisse deviner la suite! Ce que Louis essaye de vous montrer c'est que ce n'est pas temps une affaire de muscles et de fatigue puisque Louis n'ai pas contre ça, mais c'est surtout une affaire de temps, les hommes doivent plus se retenir que les filles, c'est juste injuste. Bref nous fermons cette parenthèse sans inte^ret quelquonque, Louis se chargera de voir ça avec la direction, ses arguments sont déjà tout trouvés, mais il lui faudrait un exemple genre une personne de la gente masculine qui serait dans une situation dès plus délicate qui n'aurait pas pu accéder aux toilettes à tant. Oh ce serait tellement beau. Curieusement un nom lui venait à l'esprit. Oh ce serait si drôle. Il y avait tant d'élément à rassembler, il faudrait qu'il est une envie folle d'aller aux toilettes, et que Louis tombe sur lui à ce moment là, non ce serait trop beau.
Louis remonta les escaliers qui séparaient l'étage des toilettes à celui du refectoire. Montant les marches deux à deux, il arriva rapidement à l'étage. Il rencontra une fille plutôt, heu, grosse. Je pense que l'adjectif lui correspond bien, Elle courrait à une telle vitesse que Louis n'eut que le temps de se plaqueur contre la fenêtre pour éviter de se faire emporter et écraser quelques mètres plus loin. C'est vous dire. Il entra ensuite dans les cuisines discrètement, profitant que sa jeune conscience dorme encore, les cuisinières installaient les tables et chaises pendant que le cuisinier servait la nourriture, le champs était donc libre. Louis se planqua derrière le réfrégirateur, il s'agenouilla devant une grande table en fer, seule sa main s'éleva et attrapa à l'aveuglette une pomme, par chance elle était bien belle. La sortit se fit plus normalement puisque le cuisinier était partit chercher des beignets dans l'autre pièce. Il sortit par une autre porte se trouvant dans un autre couloir. Il marcha quelques mètres, la petite souris planquée dans sa poche commença à remuer, prions pour qu'elle se rendorme, Louis commença à mettre son poids d'un pied sur l'autre en se penchant de droite à gauche, tout cela n'était pas à cause d'une chanson en tête mais bien dans l'idée de bercer sa Souricette. Une fos qu'il n'analysa plus aucun mouvement de la part du petit rongeur, il se remit à marcher normalement et virra de dans un autre couloir perpendiculaire au sien. Il baissa les yeux et remarqua Adrian le nez enfouit dans ses abdos! Celui ci recula et le salua d'une manière plutot familière. Louis fit un pas en avant, et se rendit imposant, il faillit l'envoyer praitre quand il se rappella soudainement de son idée! (voir premier paragraphe) Son visage s'adoucit curieusement, Louis en était même à lui faire un petit sourire, il posa ses deux mains sur les épaules d'Adrian, s'appuyant légèrement. Il le poussa en le faisant tourner légèrement et en le plaçant à côtés de lui. Il garda un bras autour de ses épaules pour ne pas qu'il s'échappe et commença à marche en lui imposant sa direction, tout en mordant dans sa pomme juteuse, Il s'interrompit dans son alimentation, et prit un ton plutot calme.
" Tu sais Ad', ma conscience dort encore, je ne veux pas dire par là que je pourrais t'étrangler ou autre, non juste que je te trouve bien matinal ce matin. Je suppose que tu allais descendre pour aller aux toilettes, non? Je peux t'accompagner au deuxième étage si tu le souhaites."
Sa main engloba toute l'épaule gauche d'Adrian, il eu un petit sourire qui était loin d'être les plus amical. On ne prendra pas en compte que les escaliers qui donnent aux deuxième étage se situe derrière de l'autre côtés du couloir. On ne le dirra pas. | |
| | | Adrian W. Parstone ADMIN complètement dingue !
Crédits : PixXou Messages : 83 Date d'inscription : 19/09/2009 Animal : Cochon D'inde Carreau, Coeur, Pique ou Trèfle ? : Camaraderie des Coeurs
| Sujet: Re: Tu me touches, je te bouffe... [PV] Dim 18 Oct - 16:45 | |
| C'est vrai qu'au niveau des toilettes, Adrian n'y avait jamais pensé... Peut-être qu'il n'y va jamais... Bref, c'est sûr, ce n'est pas pratique, mais bon, que voulez-vous, je ne suis pas sûr qu'aller se plaindre à la direction ne serve à quelque chose. Pour ça, Adrian ne fait pas du tout attention, alors que Louis sembla avoir bien réfléchi sur le sujet, dites moi...
Bref, il ne s'attendait pas du tout à le trouver aussi tôt dans les couloirs. Peut-être l'imaginait-il encore enfoui sous sa couette à dormir. d'un autre côté, est-ce que Adrian connait bien Louis ? Non, il ne connait rien de lui. Quand on entend parler de Louis, la plupart des gens disent que c'est un garçon assez mystérieux avec une gueule d'ange. C'est vrai qu'il a une gueule d'ange, un sourire d'ange, il doit sûrement avoir toutes les gussettes qu'il veut... Enfin, Adrian va pas commencer à dire qu'il est canon puisqu'il n'a rien d'un garçon gai. Cependant, il était vraiment surpris de le trouver là, une pomme à la main. Lui aussi il était aller faire un tour du côté des cuisines ? Seulement, personne ne s'est jeté sur lui pour lui piquer sa pomme juteuse... Il en avait de la chance ! Enfin tu me diras, vu le côté mystérieux du jeune homme, je crois que je n'oserais jamais me jeter sur lui.
Sans avoir rien demandé, et sans que ça vienne de lui, c'était ça le plus drôle, le voilà avec le bras de Louis sur ses épaules, et il ne pouvait pas non plus s'en échapper. Hum, qu'est-ce qu'il lui prenait ? Il avait des pulsions homosexuel ou quoi ? Nan mais franchement, il ne s'est pas dit qu'il allait perdre des fans si jamais une demoiselle les croisait comme ça ? Non, mais sans rigoler, elle allait avoir le cœur brisé. Adrian fut très étonné de ce que faisait Louis, après tout, d'habitude, c'était lui qui avait des élans d'affections avec d'autre personne, c'était rarement les autres personnes. En autre, Adrian ne comprenait pas son geste, et il commençait à se creuser les méninges histoire de trouver une réponse. Cependant, il ne pouvait vraiment pas se détacher de son interlocuteur, il faut dire que Louis le tenait vraiment bien, et avec sa force de mouche, Ad' n'avait aucune chance. Hum ? Aller aux toilettes, pas vraiment. Et puis, c'est quoi cette histoire que son âme dort encore et qu'il aurait pu être partant pour l'étrangler ? Il ne l'aime donc réellement pas... « Euh, ce n'est pas que j'ai une réputation de Don Juan à tenir, mais je ne tiens pas à ce que la rumeur sur moi comme quoi je suis gai empire... » Adrian leva les yeux vers le Pique, un petit sourire aux lèvres, peut-être pour détendre l'atmosphère. « Et puis, ça m'étonnerait que tu ais également envie qu'on te prenne pour un gai... Ça va vite les rumeurs, ici, tu sais... Alors... Si tu voulais, bien... Me lâcher... » En même temps qu'il prononçait sa dernière phrase, il essayait de soulever le bras du jeune homme de son épaule en le saisissant tant bien que mal, mais il ne bougeait pas d'un pouce.
Aïe, en plus, il semblait y aller vraiment déterminé vers les toilettes, et Adrian se demandait bien pourquoi. « En réalité, je n'ai pas vraiment besoin d'aller aux toilettes, tu sais... » Adrian sentait le mauvais coup venir, oui, il le sentait très. Peut-être que Louis était le tueur ? Ça se trouve oui, et il allait le tuer... Dans les toilettes des garçons en plus ! Ah non, non, non, il ne voulait pas mourir... C'est vrai qu'il pouvait avoir une tête de psychopathe, quand il le voulait, le Louis. Ah, mais il y avait le problème de l'âme. Ça se trouve, c'est juste une sourie comme ça et ce n'est pas vraiment une âme, comme ça, il passe incognito et personne ne le soupçonne d'être le tueur. Tout ça, c'est flippant quand même... « Tu sais Louis, je crois qu'on est partit sur de mauvaises bases, tout les deux et... » Et les voilà arrivés aux couloirs où se trouvent les toilettes. Un petit coup d'œil vers le grand jeune homme. Non, voyons, Adrian, tu t'emballes trop rapidement, il n'a rien d'un tueur. Clappy, quant à lui, suivait tant bien que mal son maître, l'allure allait un peu trop vite pour lui, c'était juste une petite anecdote, le pauvre, il ne faudrait pas l'oublier.
Alors dans le couloir, Adrian, prit de panique, il faut bien l'avouer, finit par s'agripper à un des piliers du mer, une sorte bout de mur qui dépasse mais qui sert à rien, enfin un truc où on peut s'agripper, et il s'y agrippa avec ses deux mains. « Naaaan, je veux pas y aller ! » Heureusement qu'il n'a jamais honte de ce qu'il fait sinon je pense qu'il se serait pendu il y a bien longtemps. Bref, il commença à hurler, pas trop fort non plus, ce genre de chose comme quoi il voulait pas mourir. Des fois, je pense qu'il ne va vraiment pas bien dans sa tête, et je ne suis sûrement pas la seule personne à dire cela. Après tout, tout le monde le surnomme l'imbécile, seulement, il n'imagine pas son potentiel intellectuel et son QI assez élevé. Aller savoir quand même si il le fait exprès ou pas. Ne pas avoir peur du ridicule peut être une assez bonne qualité dans certains cas, mais parfois, chez lui, ça allait trop loin. Clappy, lui, regardait la scène, et je pense que si il aurait pu, il se serait assis sur son popotin et il aurait mangé des pop corns sans s'inquiéter le moins du monde du sort de son maître. Alors lui, c'est clair, il est aussi insouciant que son propriétaire, si je peux me permettre d'utiliser le terme propriétaire... | |
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