J'ai la prétention de ne pas plaire à tout le monde.

Louis
Wales »

« Et vous finirez comme un satisfait qui
n'a rien fait, n'ayant rien voulu faire.»
[ Rimbaud ]

J'ai la prétention de ne pas plaire à tout le monde. 586218Sans_titre_4

FEAT Louis Garrel

« Vous, vous et vous »
Pourquoi expliquer la supériorité de Louis? Rencontrez le, et vous saurez déjà ce que signifit être inférieur. Louis a 23ans, il est la descendance d'une famille riche, il a une culture générale très ouverte, ce qui le fait rentrer dans la catégorie personne très intelligente. Mais son fort caractère gache ses qualités physiques et mentales, Louis est extrèmement prétentieux. Il ne s'intêresse pas aux autres gars, les trouve inférieur et méprisant. Si il porte de l'attention aux filles ce n'est que juste pour se divertir ou faire enrager la gente masculine.Je pense que la compagnie des piques lui va comme un gant.

«

Description de votre animal

»

"Et je vais devoir vivre avec ça tout les jours ?" "Ca" est une souris brune, plutot grosse, sa taille se trouve entre la souris blanche et le rat. Ses yeux sont minuscules et très sombres, placés de chaque côtés de sa fine tête qui se termine par un petit museau pointu, recouvert de moustache, qui s'agite quand elle est agacée. Louis à d'abord essayé de la soumettre ou de lui rendre la vie impossible, la traitant comme un être inférieur. Hors il se trouve que cette petite souris a de nombreux points communs avec Louis, en particulier l'intelligence et un fort caractère à toujours vouloir avoir raison. Je vous laisse imaginer leur relation.

«

Derrière ton écran

»

Tous mes amis m'appellent Pouet, donc tu peux m'appeler Kewilano. J'ai 16ans, je suis une gentille fifille qui n'a pas fait de R-P depuis un bon bout de temps, il va donc falloir que je me remette progressivement dans le bain. Je tiens à signaler que je me forcerais à ne pas être hyper active sur le forum, les études avant tout, mes petits loulous! Sinon je n'aime pas le forum, il est moche et il pue comme son administrateur.

» Ici, on n'est pas chez mémé, ok, y'a pas de rapport avec ce qui va suivre mais je mettais promis de placer cette phrase quelque part. Bref, après une brève présentation de vous, maintenant, nous allons voir ça de plus près. Vous aurez le choix entre différends types de Rp, vous pourrez n'en prendre qu'un, plusieurs et même tous les prendre. Vous devrez, dans ces Rp, faire apparaitre le caractère de votre personnage, son physique, sa façon de penser, de voir les gens, sa ou ses passion(s), son niveau d'étude et sa réputation, sa relation avec son animal (Vous ne pourrez peut-être pas tout faire apparaitre, cela dépendra du scénario proposé, mais c'est pour cela que je conseille de tous les faire). Tout ce qui le caractérise quoi, et ceci sous forme de Rp et non pas de biographie ! Le minimum est de 1000 mots par Rp. A vos claviers !

I)

C'est une nouvelle vie qui va commencer, demain, on vous emmène déjà à l'hôpital. Qu'est-ce que l'on va y faire déjà ? Ah oui, séparer votre conscience de votre corps. Il parait que la chose lumineuse bizarre se transforme en animal après. Vous vous demandez peut-être quel animal cela ça va être ? Racontez comment l'opération s'est passée, racontez-nous vos premiers jours... Qu'est-ce que cela donne ?

II)

Vous avez grandi, vous vous êtes acclimaté au nouveau monde qu'est la planète bleue. Wouha mais qu'est-ce que vous avez grandi ! L'université ! Vous y êtes même déjà rentré depuis longtemps ? Comment s'était passé votre premier jour ? Vous êtes à l'université où il a eu des meurtres ?! Il n'y en avait pas encore quand vous y êtes rentré, mais quand même, qu'en pensez vous ?

III)

Hum... Mais quelle soirée ! Vous ne pensiez pas avoir autant de succès en entrainant tout le monde dans la forêt ce soir là. Alors, comment ça se passe ? Tout est ok ? Comment avez arrangé tout ça, cher ami ? C'est vraiment dingue ce que donne le porte-à-porte...

Le petit prince a dit: LW est gay.

Chapitre I: Enfin.

<< Si l'on m'avait dit que je me trimballerais cette boule de poil ridicule
toute ma vie je ne serais surement jamais sorti. >>
Aïe !

La curiosité d'un enfant, son insousciance et sa naïveté. Bien qu'à treize ans, Louis était loin d'être naïf, il était comme tout enfant, un minimum curieux de savoir ce qu'il se passait Dehors. Cet espace qu'il n'avait vu qu'au travers de film, ou de description de livres, il allait enfin pouvoir avoir son propre avis sur cette soit disant "liberté". ce mot surlequel il ne pouvait lacer que la définition du dictionaire LaRousse. Sa vie jusqu'ici n'avait pas été périlleuse, son père avait fait fortune avec la découverte d'une nouvelle technique informatique qui facilitait la vie. Comme l'ordinateur restait un des meilleurs moyens de communication la famille s'était extrèmement enrichie. Ils vivaient ainsi dans une grande demeure sauf que toute ouverture donnant sur l'extérieur avait été solidement fermée. Il ne restait qu'un grand veluxe sur le toit qui leur permettait de garder un peu de lumière naturelle. Malheureusement les rayons du soleil ne restaient quasiment que dans le dernier étage. Louis adorait passé ses journées dans le grenier, cette pièces aux poutres en bois et aux vieilles photos scotchées sur les murs obliques. Il était tombé par hasard sur un carton contenant tout les vieux romans de sa mère, tous les grands classiques qu'elle avait étudiée plus jeune. Il s'était empressé de les dévorer les uns après les autres, il s'amusait à les relire, s'imaginant ce monde extérieur qu'il ne connaissait pas. Il s'était ainsi enrichie d'un vocabulaire soutenue et d'un sens de l'esprit développé pour son jeune âge. Il regardait aussi beaucoup la télé, je ne vous parle pas des films de sciences fictions qui passaient continuellement sur la seule chaine sattelite utilisable, non, Louis préférait les vieux films en noir et blanc, où chaque plan est travaillé soigneusement, chaque musique est étudiée et accordée parfaitement à la bande image. Les chefs d'oeuvres.

Aujourd'hui le jeune garçon s'était à nouveau réfugié dans le grenier, c'était aussi la moquette qui l'attirait, pouvoir se promener en chaussettes sans avoir froid aux pieds, et s'assoir ou s'allonger n'importe où sans avoir mal aux fesses, c'était un réel plaisir. Il s'était installé sur son trône, un vieux fauteuil en cuir recouvert d'un tissus beige à petit pois rouge. Qu'est ce qu'on y était bien, l'odeur du cuir mélée à la vieille odeur des pages jaunies des livres, un pur plaisir. d'ailleurs il était en pleine lecture d'un grand classique, Emile Zola, quand sa mère lui annonça La nouvelle, Ils allaient enfin pouvoir sortire. Elle était toute exitée, et ne cessait de se regarder dans le miroir au dessus de la cheminée pour vérifie que sa coiffure était correcte. Louis agacé par cette joie soudaine qui animait sa mère et l'empêchait aussi de terminer son roman, la coupait à chaque détours vers la glace.

" Tu n'as pas changé de coiffure en 1minute."

Rien ne semblait attendeindre sa mère qui s'agitait par tout, telle une tornade qui répandrait son bonheur dans la maison. Elle s'arrêtait de temps en temps devant son fils, qui était toujours concentré dans sa lecture, elle s'agenouillait alors devant le vieux fauteuil, un grand sourire aux lèvres.

" Tu te rends compte que l'on sort enfin ?"

Louis ne bronchait pas, se contentait de lever un oeil au dessus de son livre, qu'il replongeait aussi brusquement entre les lignes. Son père qui entreprenait de réaliser son noeud de cravate, pour une fois sans signe d'agacement, s'intégra dans la discussion, en usant sa grosse voix d'homme, pour se faire entendre de l'autre pièce.
"Laisse le donc, tu sais bien qu'il n'a pas connu l'extérieur, comment pourrait il être joyeux si il n'en connait pas les raisons?".

Alors sa mère acquiesait de la tête, se levait en passant sa main dans les cheveux de son fils, et continuait de s'agiter dans la maison, en cherchant par tout ses boucles d'oreilles nacrées. Brusquement la ville entière se stoppa, chaque personne dans sa maison cessa de bouger, même Mme Wales s'immobilisa, chaque habitant tendait l'oreille en osant faire de bruit. Un son de cloche ? Trois coups stridents, bien séparés. L'ouverture des portes était autorisée, enfin! Il y avait si longtempx que le clochet n'avait pas sonné répondant sa douce mélodie entre les ruelles. Mr Wales poussa la grande porte en métal, chaque père de foyer fit le même mouvement , le même grincement se fit entendre dans chaque logement, le même rayon de soleil aveugla ses occupants. Mme Wales tenait serrée la main de son fils, juste derrière son maris. Ils gravirent les deux marchent et sortirent sur la grande avenue. Ils regardèrent leurs voisins, c'était donc un petit garçon qui pleurait la nuit. C'était donc Elle qui jouait du piano après manger. Ha cela devait être ce gros mr qu'on entendait rouspetter son fils. Les habitants se dévisageaient, se découvrant peu à peu, ils s'efforçaient de se sourire bien que éblouient par le soleil, qu'ils n'avaient pas réelement vu depuis longtemps. La végétation recouvrait les façades des maisons, le paysage n'était pas splendide loin de là, mais les habitants semblaient si heureux de le revoir. Louis était déçus, où se trouvaient les montagnes, les volcans, la mer, les falaises, les cascades qu'il avait vu dans les films? Et les animaux, ces êtres inférieurs qui se déplacent à quattre pattes ? Il ne dit pas un mot durant le trajet et se laissa guider parmis la foule vers un batiment recouvert de plantes grimpantes. Ils firent la queue durant plusieurs minutes puis après s'être présenté à des personnes enfermées dans des cages en verre, ils traversèrent plusieurs couloirs, suivant des flèches au sol. Ils arrivèrent ensuite dans une grande salle où plusieurs personnes étaient assises sur des chaises. Ils prirent place eux aussi, Louis regarda longuement le visage de sa mère, il ne l'avait jamais vu aussi souriante et confiante. Il ne se souvient pas du reste. Il parrait qu'on leurs a diffusé un gaz endormissant dans la salle.

Quand Louis s'est réveillé, Elle était là. Elle le fixait de ses petits yeux noirs alors qu'elle se tenait debout sur ses pattes. Il eut un sursaut en la découvrant, et attrapa son oreiller, pour lui lancer, mais lorsqu'il voulut accomplir son geste,, un mal de tête indéfinissable le prit soudainement. Il lacha l'oreiller et plaqua les paumes de ses mains sur ses oreilles, en grimaçant de douleur. Aussitôt le "grésillement" cranien s'arrêta. La petite souris brune n'avait pas bougé, mais Louis eut l'impression qu'elle lui souriait en coin.

Chapite II: Pouet.

Chapitre III : Brave bête.

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» y a un temps pour tout (bliss)
» Mais non je ne suis pas perdue ... Enfin, il faut suivre ce couloir, c'est tout ... [PV]