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Ici, c'est un monde de dingue, vois-tu... Mais après, t'es fou toi aussi ou tu l'es pas...
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L'arroseur arrosé
 
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 Il est midi. [PV]

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2 participants
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Louis Wales
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Louis Wales


Crédits : Kewilano
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Date d'inscription : 09/10/2009
Animal : Une souris brune.
Carreau, Coeur, Pique ou Trèfle ? : Pique.

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MessageSujet: Il est midi. [PV]   Il est midi. [PV] EmptyMer 25 Nov - 18:15

DRIIING!

    [Sujet privé Bliss, Thimotée, et moi même. ]


    Enfin, cette sonnerie tant attendue est audible. Cette petite mélodie qui nous ouvre les portes de la classe, qui nous libère de ce lieu clos. Le silence est brisé,et les élèves se ruent hors de la classe dans un vacarme de joie, alliant bruits de chaises, et dialogues. Certains polis adressent un aurevoir à leur professeur, d'autre le bougonnent les yeux rivés sur la porte de sortie, ou d'autre encore sont déjà dans le couloir.

    Louis a la stratégie la plus efficace pour sortire rapidement, d'abord oublier ses affaires pour ne sortire qu'un stylo et une feuille, rapide à ranger, et enfin trouver la place stratégique du premier rang juste à côtés de la porte. Ils se trouvent ainsi rapidement dans le couloir, tout en ayant le temps d'adresser un signe d'adieu au professeur, qui s'avère changer selon son humeur, cela peut varier entre une fermeture de longue durée de ses paupières avec un acquiesement de la tête pour montrer tout le respect qu'il éprouve, comme cela peut virer au salut militaire, les doigts collés à la tempe. Notre jeune homme se retrouve alors dans le couloir, son sac en cuir posé sur son épaule, tenu fermement par ses doigts tout cela grâce à la flexion de son bras. Il porte son fidèle long manteau noir qui reste pratiquement toujours ouvert, et cette écharpe inutile qui épouse juste la forme de son col, pour ensuite retomber de chaque côté de l'ouverture de sa veste et flotter à chaque coup de vent réalisé par un étudiant. Car des étudiants il y en a beaucoup, nous sommes à la sortie des classes, les heures de la matinées sont finies et tout le monde se rue pour aller satisfaire ses besoins alimentaires. S'ensuit un long et périlleux embouteillage, causé surement à cause de certaines personnes qui n'ont toujours pas compris dans quel sens fallait aller. Et oui, Louis voit tout, du haut de sa majestueuse taille rien ne lui échappe, et puis il apprécie énormément ce sentiment de supérorité, en dépassant d'une tête tout le monde.

    Louis ne peut alors s'empêcher de soupirer, et puis tous ces bavardages intempestifs. Comment peuvent ils avoir autant de choses à se dire, ils ont passés la matinée toute ensemble! Et que ça papote, et que ça rigole, et au final on avance pas. Louis en aurait bien balancé un par la fenêtre, mais il ne devait pas oublier sa petite conscience dans la poche de son manteau, manquerait plus que pour le punir, elle lui fasse un énorme trou dans la poche. C'est qu'elle en serait capable en plus. Louis était donc en plein déespoir. Quand soudain aussi brusquement que inimaginable, il remarqua une petite tête aux longs cheveux bruns, à quelques mètres devant lui.

    - Oh ma gusette préférée!


    Sans hésitation, il courrut dans sa direction et s'accroupissant il passa un bras au niveau de ses épaules, tandis que l'autre lui tappait dans les jambes et la soulevait du sol. Il se retrouva alors avec un Bliss toute surprise dans les bras, et continuant sa course, folle, un large sourire aux lèvres, il vociféra à pleins poumons;

    - Dégagez! Urgence! Elle va accoucher!


    Les gens surpris se retournèrent et sans réfléchir les laissèrent passer, s'écartant en leur frayant un chemin étroit. Louis courrait en souriant, ce qui n'avait rien de ressemblant à une urgence, mais il était tellement amusé de l'idiotie des étudiants qu'il ne pouvait s'en empêcher. Tout le long du couloir les élèves s'écartèrent, les regardant, aucun ne se mit en travers de leurs chemins en pointant le ventre plat de Bliss. Aucun. Ils étaient tous tellement surpris qu'ils imitaient leurs voisins en se taisant. Le silence régnait brusquement dans le couloir. Louis avait réussit à faire son trajet rapide et dans le silence, que demander de mieux ? Ils arrivèrent rapidement devant l'embouteillage d'étudiants, Louis continua de courire quelques mètres pour marquer une distance, puis posa délicatement Bliss au sol.

    - Terminus, tout le monde descend! Ne me remercie pas, un simple bisou fera l'affaire!


    Il ajouta un grand sourire, très fier de lui, bien que essouflé par cette folle course, et puis il faut dire que Bliss fait son poids tout de même!
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Bliss R.Llewellyn

Bliss R.Llewellyn


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Messages : 21
Date d'inscription : 30/10/2009

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MessageSujet: Re: Il est midi. [PV]   Il est midi. [PV] EmptyJeu 3 Déc - 20:05

    C’était toujours aussi émouvant de rentrer ici. Un simple pied sur ce sol me faisait trembler dans tout mon être. Cette école c’était avant tout le rêve de quelques choses de nouveau. Oublié les problèmes de la vie quotidienne et simplement pensé à la joie. Un an avait passé depuis mon entré ici. Je regardais chaque regard autour de moi ; les nouveaux élèves, leurs émotions je les comprenais car moi aussi j’avais rêvé. Cette école était tout bonnement magnifique. Autant de l’extérieur que de l’intérieur. Elle regrouper les meilleurs étudiants du monde, des élèves passionnée n’ayant pas peur de rêver. Ici, le travail est assidu et les notes sont à un niveau des plus élevés. Les élèves dépensent des milliers de francs chaque année pour pouvoir payer leurs études car ici, nous attendons des élèves que le meilleur. Chaque année, nous voyons sortir de nos murs des futurs avocats, futurs notaires ou encore futurs écrivains. La renommée de notre école n'est plus à refaire. Ce discours chaque année la directrice le faisait ; mais elle aussi était parfaite dans son rôle, j’avais l’impression d’être au paradis quand je posé un pied ici. Je la connaissais par cœur, chaque porte, chaque mur et chaque recoin de l’école pour y avoir passé une année complète. J’avais d’ailleurs moi aussi ma photo sur un mur en tant qu’une des meilleurs élèves de première année. C’était immense, grandiose et magnifique. Les murs était en parfaite harmonie avec le sol. Tout s’accordait, aucun détail ne pouvait gâcher cela. Je grimpais les marches avec beaucoup moins de stress que l’an passé. J’avais retrouvé mon calme, en entrant je passais au tableau d’entrer y jetant de même un petit coup d’œil. Quelques messages de bienvenue ainsi que la liste de futures réunions. J’avais hâte ; j’étais impatiente et tout excitée.

    Je sautillais comme une petite fille à qui l’on offrait une petite poupée. Je passais directement dans le bureau de la directrice, d’abord pour la salué et ensuite pour récupérer quelques papiers. Nous avions discuté pendant quelques minutes ; ce fut d’ailleurs très agréable. Elle n’hésita pas à me donner des conseils et à me dire que j’allais réussir. La perceptive de passé une nouvelle année me remplissait de choix et de bonheur. Un pied dans se long couloir au long mur et doux. Avec son plafond si haut qu’on avait l’impression qu’il touchait les étoiles. Le couloir était bondé, de jeune venu des quatre coins du monde ; j’aimais pouvoir découvrir le monde, ses merveilles et sa culture. Le droit m’avait appris à être juste mais à comprendre certaines choses. Les premières années se reconnaissait dans la foule, plus effrayé et stresser que les autres. Je retrouvais des amis de deuxièmes et troisième années ; elle m’avait manqué. Thimothée n’arrivais que plus tard ; j’avais la matinée à moi. Marchant dans la foule, je me glissais parmi les personnes quand je décollai subitement du sol. Mon corps fut pris dans un élan de folie, sans regarder je devinais le coupable, je senti les mains de Louis sur mes jambes. Je n’eu le temps de parler, qu’il faisait son malin annonçant la naissance d’un enfant dont j’ignorais l’existence.

    « - Louis tout le monde va me croire enceinte … je plaisantais et éclatée de rire, il était incroyable et je l’adorais.Cette situation me faisait rire enfaite. Je déposais un baiser sur sa joue avant de lui faire un petit cou de coude d’amitié. Et merci au faite, je vois que je t’ai manqué vu la manière dont tu me saute dessus.

    Louis était un peu comme un grand frère, Fidel au poste, même si ces relation avec Thimothée était un peu tendu à mon grand désespoir.

    « - Tu va bien ?
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